Lisez : Deutéronome 22.1‑4
survol de la Bible: JONAS 1.1 – 2.10
Celui donc qui sait faire ce qui est bien, et qui ne le fait pas, commet un péché (JA 4.17).
Les pique-niques sont généralement
plaisants, sauf si vous vous rendez compte, quelques minutes avant de
partir, que vous devez apporter un repas à partager. Lorsque cela m’est
arrivé, j’ai rapidement mis de la viande dans une casserole, allumé le
feu et quitté la cuisine pour aller terminer d’autres préparatifs.
Quelques minutes plus tard, j’ai senti une odeur de brûlé. J’ai couru à
la cuisine, mais évidemment, il était trop tard pour récupérer
l’offrande brûlée.
Bien que je n’avais rien fait de mal,
c’est ce que je n’avais pas fait qui a engendré le problème. Ce principe
s’apparente à un verset de la Bible : « Celui donc qui sait faire ce
qui est bien, et qui ne le fait pas, commet un péché » (JA 4.17).
Dans l’Ancien Testament, Moïse a dit que
si une personne voit « s’égarer » le boeuf de son frère, elle doit
prendre l’animal au lasso et le ramener à son propriétaire (DE 22.1). Si
le boeuf tombe dans le chemin, celui qui le voit doit l’aider à se
remettre sur ses pieds (V. 4).
Dans le Nouveau Testament, Jésus a
raconté l’histoire d’un Samaritain qui s’est arrêté pour aider un homme
qu’on avait volé et battu. Au fil des siècles, l’homme bon est devenu
connu comme le bon Samaritain (LU 10.25‑37).
Qu’est-ce qui le rendait bon aux yeux de
Jésus ? Il n’avait pas péché par omission et avait fait ce qui est
bien. En faisant allusion aux oeuvres du bon Samaritain, Jésus a exhorté
ses disciples ainsi : « Va, et toi, fais de même » (V. 37).
Aujourd’hui, nous serions peut-être
tenté de contourner rapidement le « boeuf » dans la rue ou la « victime
battue » en klaxonnant et en la saluant de la main afin de ne pas être
en retard à l’entraînement de football. Mais qu’est-ce que Dieu voudrait
que nous fassions ? Je crois qu’il voudrait que nous ralentissions, que
nous sortions de notre zone de confort et que nous nous préoccupions
des besoins des autres. Puissions-nous refléter la compassion de Dieu
alors qu’il nous guide aujourd’hui !
Lisez Philippiens 2.4 et pensez à l’importance de nous préoccuper des besoins et des intérêts des autres.
La
conscience d’un besoin doit-elle forcément se traduire par la
responsabilité de répondre à ce besoin ? Pourquoi ? Comment la
compassion de Dieu vous influence-t-elle lorsque vous pensez aux besoins
des autres ?
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